Enfin je peux poursuivre l’aventure de Kratos et d’Atreus ! Pour être franc, le God of War de 2018 est le jeu qui m’a poussé à acheter une PS4. Oui j’ai délaissé Sony pour Microsoft à compter de la Xbox 360 et je n’ai donc jamais joué sur PS3 et donc aux précédents opus. Je me souviens encore de mes premières heures sur le jeu, cela a été une claque énorme ! J’aime ce genre de jeu action aventure avec un bon côté bourrin ! Du coup quand la suite a été annoncée en 2020 sur PS5, j’ai commencé à baliser et puis j’ai été rassuré en voyant que le jeu sortirait également sur PS4. Oui je le précise d’entrée j’ai testé le jeu sur PS4. Je le précise d’entrée je pense avoir un parti pris positif pour la licence. Cela ne signifie pas que je vais cacher ce que je trouverai mauvais dans le jeu mais à moins que les gars de Santa Monica aient fait un hors sujet, je ne vois pas comment je pourrai être déçu tant j’attends cette suite avec impatience quoique les plus grosses attentes donnent souvent lieu aux plus grosses déceptions. Trève de bavardages on se lance dans le test de God Of War Ragnarök !

La suite immédiate du précédent opus
Non je ne vais pas spoiler l’histoire du jeu. Je vais me contenter de te donner le speech de base que tu peux trouver sur la fiche informative du jeu. Kratos et Atreus, après avoir sauvé Midgard des Valkyries, doivent parcourir les Neufs Mondes de l’Yggdrasil pour tenter de sauver l’existence du Ragnarok, la fin du monde. Voilà ça c’est pour la base. Il faut rappeler que la tournure du précédent épisode. Les développeurs avaient pris tout le monde à contrepried en laissant tomber le monde grec pour mettre Kratos en fuite dans le royaume Nordique et la mythologie qui va avec. On a ainsi pu se familiariser avec le monde nordique avec les neufs royaume qui le composent même si on ne peut en visiter que 6.



Au départ Kratos devait simplement disperser les cendres de sa femme Faye sauf que comme à son habitude il ne peut s’empêcher de fracasser le crane de tout le monde. On croisait ainsi la route de Baldur ou plutôt il nous cherchait et on finit par le tuer. La fin de God Of War était alors un torrent de révélations ! Dans l’ordre, Faye était en fait une Géante et elle connaissait la destinée de son mari et de son fils, Kratos de son côté remarque une autre peinture camouflée le montrant mort dans les bras de son fils et alors qu’ils repartent vers Midgard Atreus révèle à son père que son vrai nom serait Loki… Climax sur la fin : on apprend que la mort de Baldur a déclenché le Ragnarök ! Atreus fait un rêve prémonitoire où il voit Thor rendre visite à son père et boum fin de God Of War ! Tu imagines dans quel état j’étais ! Voilà pourquoi je n’en pouvais plus d’attendre !



Je ne vais strictement rien dévoiler à proprement parler de l’histoire et de la narration. Pourquoi ? Parce que Santa Monica a le talent de proposer des narrations dignes des plus grands blockbusters hollywoodiens et God Of War Ragnarök n’échappe pas à la règle. Le jeu démarre très fort et les rencontres importantes et classes se font dès les premières minutes du jeu ! Le jeu est la suite quasi immédiate de son aîné et ça se sent. Les évènements narrés à la fin du précédent opus arrivent vite mais j’ai quand même remarqué qu’Atreus a grandi (on l’entend à la voix un poil plus grave). Il est devenu un adolescent et cela se ressent dans la relation père fils. On n’est plus dans une relation dominant / dominé. Atreus s’affirme et se rebelle. Kratos, sur les conseils avisés de Mimir, doit mettre de l’eau dans son vin.









Les rôles dans ce duo sont modifiés. Kratos reste aussi badasse et prend toujours une place prépondérante mais je l’ai trouvé plus fragile notamment avec son rôle de père qui le tiraille avec celui de général exemplaire qu’il a toujours été. Atreus est lui, plus fort, il a grandi et a appris à développer ses pouvoirs. Il devient indispensable à Kratos et si dans God Of War c’est le père qui cachait des choses au fils, dans cette suite, le fils en sait bien plus et souvent Kratos doit lui faire confiance. God Of War Ragnarök fait évoluer la personnalité des protagonistes ce qui insère le jeu dans une histoire bien plus vaste et qui forme un tout avec les autres opus un peu à l’instar de la trilogie Tomb Raider ou celle de Batman Arkham.






God Of War Ragnarök offre une énorme profondeur scénaristique qui s’enrichit avec les quêtes secondaires. Le jeu fait office d’exception en proposant des quêtes annexes qui ont une réelle utilité pour la compréhension de l’histoire principale et qui donc s’insèrent parfaitement dans la trame. On connait beaucoup de jeux et pour certains très réussis qui proposent une foultitude de quêtes qui ajoutent du contenu, qui sont parfois sympas à faire mais qui n’apportent pas grand chose à l’intrigue principale. Dans God Of War Ragnarök, chaque quête annexe est l’occasion de comprendre le royaume que l’on traverse ou les motivations des protagonistes que l’on croise.






Que c’est beau le Ragnarök !
Attention les développements ci-après contiennent de légers spoils sur les personnages et les lieux.
Maintenant que je t’ai mis à l’eau à la bouche (et à moi aussi d’ailleurs) on peut s’installer confortablement et lancer le jeu. Encore une fois, Santa Monica sait te mettre bien. Dès l’intro ça claque de partout ! Kratos est beau comme un dieu, c’est un dieu de toute façon ! J’insiste, Kratos a eu droit à un soin particulier sa modélisation est bluffante pour un jeu tournant sur PS4 ! C’est simple on sort parfois d’une cinématique pour reprendre le jeu et on ne constate aucun changement sur les textures qui composent Kratos, c’est impressionnant même sa barbe est ultra détaillée et on peut s’amuser à scruter les pores de sa peau c’est vraiment dingue ! J’nechaine les superlatifs mais il faut dire que c’est la grande classe !






Cependant la réalisation de Kratos ne se retrouve pas sur tous les protagonistes. Attention on reste dans l’excellence mais quand tu as modélisé un personnage quasiment à la perfection, les autres qui sont “justes” excellents peuvent faire tache… J’ai été déçu par Odin ou même Atreus sur certaines animations. Mention spéciale pour Thor qui dégage un charisme de malade et que je trouve plus beau in game que lors des cut scènes. Le combat que l’on peut faire contre lui m’en a mis plein les yeux ! Car oui il y a des combats dans God Of War Ragnarök pour ceux qui l’ignorent et franchement ils sont hauts en couleurs ! Il y a deux types de combats : les classiques contre les mobs de base lors de notre exploration et les boss qui sont simplement magnifiques ! Les effets qui les accompagnent nous font bien sentir que l’on est sur du combat entre dieux !







Les lieux que l’on traverse nous flattent la rétine ! On va pouvoir traverser les neuf royaumes y compris ceux inaccessibles dans le précédent opus. D’ailleurs les gars de Santa Monica frappent fort dès le départ en nous proposant de parcourir le royaume des nains : Svartalfheim qui est en fait dans la mythologie le royaume des elfes noirs mais passons. Les développeurs se montrent intelligents car le début du jeu peut se montrer un peu mou et lent pour s’accélérer par la suite d’où la bonne idée de mettre un lieu inédit histoire de compenser. Il faut savoir que l’histoire se déroule en plein Fimbulvetr sorte de méga tempête de neige. On a donc pas mal de paysage enneigés mais pas que. L’avantage est que cela permet de redécouvrir des paysages déjà traversés sous un nouveau jours.






Y’a pas à tortiller du cul pour chier droit, God Of War Ragnarök est magnifique d’un point de vue visuel et il frôle le sans faute. Régulièrement on a droit à des panoramas contemplatifs et les lumières sont parfaitement gérées pour sublimer les lieux. Oui le jeu est beau mais je dois reconnaitre que j’ai fait le test sur PS4 et j’ai cru que ma console allait se mettre en PLS… Au delà du ventilateur qui me laissait penser que ma console allait s’envoler, j’ai régulièrement eu droit des chutes de framerates. Que ce soit en combat ou lors de simples explorations le jeu ralentissait et la console peinait à suivre le rythme. Cela se ressent également sur les éléments de décors qui parfois avaient du mal à s’afficher. Rien de bien méchant, tu as pu voir des vidéos tourner sur les réseaux.









L’aspect son est également de grande qualité avec d’excellente musiques épiques pour les combats et d’autres plus calmes lors de nos balades en barque. Elles restent cependant discrètes puisque notre compagnon sans corps, Mimir, ne cesse de parler pour nous abreuver d’histoires ou d’anecdotes sur la mythologie nordique. J’en viens à parler du doublage qui est très bon. Je précise avoir fait le jeu en français. On sent que les doubleurs se sont donnés pour un résultat optimal !









Exploration tout droit !
A l’origine God Of War était un beat’em all et puis la licence a évolué en cédant aux sirènes de la mode en proposant un jeu d’action aventure en monde semi ouvert. God Of War Ragnarök reprend la recette sans apporter de modification. Les royaumes que l’on traverse sont des sortes de couloirs géants dans lesquels il est impossible de se perdre. A chaque fois on doit aller d’un point A à un point B avec des possibilités de détours histoire d’accomplir des quêtes secondaires ou remplir des objectifs de collecte. A ce sujet on retrouve les mêmes objectifs que dans le précèdent GOW : les corbeaux d’Odin, les poèmes, les coffres runiques de deux sortes, les artefacts, les coffres légendaires et les stèles de connaissances. Je n’ai pas été dépaysé à ce niveau ! Je pensais que les développeurs auraient eu un plus d’ambition ou auraient pu prendre plus de risques.



God Of War va se dérouler avec les mêmes mécaniques, on découvre un royaume que l’on parcourt en fouinant à droite et à gauche. On repère des endroits inaccessibles pour lesquels on reviendra une fois le matériel ou la capacité débloqué. C’est assez basique et j’en attendais un poil plus. La seule prise de risque se situe au niveau de la taille des zones à explorer qui est bien plus vatse que pour le précédent opus. Je m’en suis rendu compte en accomplissant les services proposés (les quêtes secondaires). Certaines zones sont vraiment bien cachées ce qui met l’accent sur l’exploration surtout que parfois les trésors valent le détour même si à l’heure ou j’écris ces lignes je n’ai pas trouvé d’armures légendaires qui fait le café (qui se souvient de l’armure Valkyrie ?)









ça va saigner !
L’exploration c’est bien gentil mais ce que l’on veut dans God Of War Ragnarök c’est la bastion ! Pour le coup j’ai été servi ! On commence le jeu avec les techniques et les armes que l’on avait lorsque l’on a finit GOW, ce qui signifie que l’on lame du chaos et hache de Léviathan. On est donc bien staffé mais cela va s’accroitre au fil de notre progression. Le jeu propose d’emblée des combats assez épiques et pour avoir lancé le jeu en difficile, je me suis surpris à mourir de façon conne car les ennemis se montrent bien retords vu que l’on a déjà toutes les techniques ! C’est plutôt intelligent de ne pas repartir à zéro et c’est cohérent avec le fait que cet opus est une suite.












On a donc notre hache qui peut givrer les ennemis et les lames du chaos pour les enflammer. Les combos se font plutôt bien et l’utilisation d’Atreus fonctionne bien en personnage de soutien via son arc. Sur ce point God Of War Ragnarök va proposer une nouvelle mécanique de gameplay que je tairai volontairement car elle peut changer radicalement les combats ! Les combats restent super dynamiques et j’ai trouvé qu’ils étaient bien moins répétitif que pour GOW grâce à un bestiaire bien plus conséquent ! Les adversaires ont des forces et des faiblesses différentes qui imposent d’adapter en conséquence sa façon de jouer. Bon après je vais pas te mentir, le jeu est long puisqu’il faut bien 40 heures pour en voir la fin tout en s’adonnant à quelques activités annexes. Du coup sur une telle durée il est évident que parfois on a l’impression que les combats tirent sur la longueur ou du moins qu’il y en a trop sur certaines zones du jeu. Il faut cependant se souvenir qu’à l’origine, la licence est un beat’em all.









Tout n’est pas parfait et puis comment cela pourrait-il être possible ? Si tu as fait le premier épisode tu te souviens de la caméra un peu trop collée aux personnages ce qui peut être, non j’enlève le “peut être”, c’est chiant en combat notamment lorsqu’il y a plusieurs ennemis. God of War Ragnarök ne corrige pas ce défaut. Difficile de sentir ce qui vient dans notre dos car la petite not visuelle est vraiment ridicule et il faut principalement se fier aux indications de Mimir qui nous prévient lors d’un attaque dans le dos. Au passage c’est quand même pas mal d’inclure un personnage secondaire accroché à notre ceinture dans les combats. Il n’empêche que c’est quand même un point faible.






Autre chose, les combats peuvent paraître un poil rébarbatifs car la palette de coups reste limitée malgré les arbres de compétences. Ensuite il faut principalement miser sur la parade qui fait le café et l’esquive pour les gros coups impossibles à bloquer. On tourne vite en rond quel que soit l’ennemi… Le mode rage est bien présent et il est toujours aussi violent ! Lors des combats, on fait monter notre jauge de rage qui permet à Kratos de se mettre en mode Dieu et de fracasser tous les ennemis avec ses poings ! Ce mode rage est toujours aussi bon mais ce n’est pas une nouveauté. Finalement, God of War Ragnarök n’améliore pas la recette des combats, il la reprend simplement en ajoutant de trop rares nouveautés.







Et la dimension RPG dans tout ça ?
Parler du manques de techniques du jeu m’amène à évoquer la dimension RPG du jeu. Je suis resté un peu sur ma faim à ce niveau surtout que Santa Monica est fait mieux sur d’autres licences. J’ai trouvé les arbres de compétences réduits et on acquière vite toutes les compétences que ce soit pour Atreus ou pour Kratos. Les compétences permettent principalement d’acquérir de nouvelles techniques. Jusqu’au niveau de difficulté normal, tu peux tourner avec les mêmes techniques tout au long du jeu, exception faite d’une quête secrète qui nous oppose à des mastodontes ! En mode difficile, il faut régulièrement jongler entre les différentes techniques afin de combattre au mieux les adversaires. D’une manière générale, l’évolution de Kratos se fait de manière automatique en montant les niveaux. La seule chose que l’on puisse faire et d’ouvrir les coffres des nornes pour augmenter notre jauge de vie ou de rage. ça reste léger pour un jeu aussi important.



Le gros morceau RPG du jeu passe par l’équipement qui influe énormément sur les stats de Kratos. Il y a de quoi faire avec trois pièces à équiper plus les accessoires des armes plus les runes on peut vraiment se stuffer comme l’on veut. Les équipements se distinguent en deux grosses catégories : celles qui augmentent les stats de Kratos et celles qui donnent des pouvoirs passifs. Une nouvelle fois on peut adapter Kratos à notre façon de jouer. Chaque pièce peut être améliorée chez les forgerons nains ce qui ajoute un peu plus de possibilités. Attention l’amélioration des pièces nécessitent des ressources que l’on trouve en explorant les lieux que l’on traverse ou en battant les ennemis. Pour les armures, on les trouve dans les coffres cachés, généralement il faut bien observer résoudre quelques puzzles pour parvenir au coffre légendaire (le plus intéressant). Ainsi faire le jeu en ligne droite n’est pas recommandé.






Conclusion
Oui j’ai surkiffé God of War Ragnarök ! De base j’adore la licence depuis que je l’ai découverte avec l’opus précédent. La suite reprend exactement la même recette en implémentant de rares nouvelles mécaniques de gameplay. Les combats sont toujours aussi violents avec des finish mooves toujours aussi classes et percutant. En plus, il faut reconnaître que les gars de Santa Monica arrivent à nous compter une histoire à la manière des gros blockbusters hollywoodiens et chez moi ça fait mouche ! Si tu aimes les jeux d’action bourrins avec un peu d’exploration et une petite dimension RPG, tu ne peux que foncer acheter cette pépite ! Tu as aimé le premier épisode tu aimeras celui-là et pour ceux qui n’ont pas fait le premier, la réalisation est tellement bonne que ça vaut le détour de s’essayer à la licence même si tu risques d’être un peu à la ramasse pour le scénario malgré le résumé que propose le jeu. Je ne vais pas te mentir je suis absolument fan malgré les défauts persistants du jeu. Oui la recette n’est pas améliorée ou du moins pas suffisamment selon moi mais elle est toujours aussi efficace et ce qui était génial il y a quatre ans l’est toujours aujourd’hui car entre temps beh on n’a pas fait mieux ! J’en profite pour préciser la “note” que je donne au jeu car le sujet fait polémique. Déjà chez moi, je ne donne pas de note mais ma satisfaction d’ailleurs ça s’intitule la “satisfaction de Piwi” (c’est moi). Je ne peux donc pas être plus clair !
Edit du test après le 100% Attention Spoil !!!!
Bon après avoir fait le 100% et y avoir passé du temps, je me suis dit pourquoi pas un petit ajout histoire de compléter mon avis ? C’est rare mais dans le cas de God of War Ragnarök j’en ressens le besoin. Alors attention je ne vais pas dire tout à coup que le jeu est mauvais raté. Il reste un trèèèèèès bon jeu que j’ai vraiment apprécié mais je reste vraiment sur ma faim si je le compare à son aîné ou à d’autres licences du même constructeur. Comme je l’indique dans le titre il risque d’y avoir quelques spoils, obligatoire à mon sens si je vaux me faire comprendre. Tout d’abord sur le contenu, je trouve, c’est peut être une mauvaise impression, qu’il y en a moins. En tout cas les quêtes secondaires m’ont fait ni chaud ni froid et j’ai même eu l’impression que certaines n’étaient qu’un copié collé avec un back ground différent. Je n’ai pas retrouvé de quête aussi épiques que celle des valkyries. Oui j’ai fait l’intégralité des bersekers ainsi que le combat contre la reine des valkyries et franchement mouais quoi ! Les bersekers manquent de charisme et j’ai trouvé les combats très redondants et sans un grand challenge excepté pour un ou deux…
Je m’attendais à un contenu endgame beaucoup plus fourni vu qu’au cours de notre périple les quêtes secondaires sont rares et finalement concentrées sur deux zones et deux moments du jeu. D’ailleurs si on se prend à les faire au fur et à mesure de leur apparition cela casse la narration de la quête principale. Alors qu’ensuite et pour les 90% du jeu restant on se contente de suivre la trame principale sans contenu annexe à se mettre sous la dent. Il y a bien les corbeaux d’Odin qui prennent du temps mais franchement tirer sur des oiseaux à chercher dans le décor ce n’est pas ce qui m’excite… Je me suis pris à comparer avec d’autres licences type Horizon ou Ghost of Tsushima. Ces deux jeux présentent un contenu bien plus conséquent en terme de quêtes !
Là ou je suis un peu resté sur ma faim c’est pour les nouvelles mécaniques de gameplay. Ok on intègre une nouvelle arme avec la lance de Draupnir mais finalement que ce soit pour les combats ou pour l’exploration, cela reste sous exploité et pourtant il y avait de quoi faire ! Il faut surtout faire du backtracking une fois que l’on a la lance pour débloquer les passages accessibles et l’exploration n’est pas forcément le point fort de God Of War. C’est assez scripté et laborieux surtout lorsque l’on enchaîne les phases d’escalades. Et puis je me suis ennuyé à parcourir à nouveau les zones puisque elles sont quasiment vides de tout ennemi. J’aurai aimé des ennemis plus forts ou du moins en rapport avec notre niveau mais non ! Les combats sont anecdotiques et répétitifs. C’est vraiment dommage ! Au final oui le jeu est très bon mais contrairement au premier je n’en garderai pas un souvenir impérissable d’ailleurs je ne relève pas un moment ou une quête particulière alors que pour son ainé les souvenirs sont légions !
Satisfaction du Piwi 93 %
Si tu veux acheter le jeu (le Piwi ne prend aucune commission car non actionnaire chez Sony !) ICI PS5 / PS4



- Date de sortie : 9 novembre 2022
- Editeur : Sony
- Développeur : Santa Monica Studio
- Catégorie : Action aventure
- Prix : 79,99 €
- Classification : PEGI 18
Le test a été réalisé avec une version presse digitale PS4 / PS5 offerte par Sony (Merci Julien !).