Skull and Bones , un potentiel de malade ![Test ]

Temps de lecture : 17 minutes

S’il y a bien un jeu qui a eu droit à un développement catastrophique ou du moins ponctués d’incidents c’est bien Skull and Bones ! Le jeu a quand même été annoncé en 2017… 2017 !!! Au début la sortie était prévue pour 2020 puis en fait non on change de studio on plutôt on en ajoute, on change le concept donc on repousse pour 2022. Mais deux mois avant la date prévue en fait on repousse pour mars 2023 et rebelotte en janvier on repousse pour 2024 et… il est enfin là !!! Allez savoir pourquoi, j’ai été hyppé par le jeu et je l’attends plus que de pied ferme mais moi même je ne sais pas pourquoi… Je ne suis pas fan du lore de la piraterie qui pour moi se limite à la saga Pirates des Caraïbes et à une chaîne de restaurant trop chère pour la qualité de la bouffe qu’elle propose. J’exagère mais autre exemple je n’aime pas Sea of Thieves, c’est comme ça goût personnel. Donc pourquoi je suis comme un gosse pour Skull and Bones… Même la bêta blindée de bugs m’a conquis. J’ai été envouté par une magie noire… Je me suis même pris le steelbook… (Au passage, rien à foutre de plaire, je dis ce que pense !). Voilà une intro à rallonge pour au final ne pas dire grand chose sur le jeu et surtout parler de moi. Je vais donc vous donner mon avis mais c’est clair j’ai été conquis par le jeu et je vais vous expliquer pourquoi.

Je suis un pirate !

Je trouve que Skull and bones m’a tout de suite plongé dans l’ambiance de la piraterie d’antan ou du moins c’est l’idée que je m’en fais. Il y a un côté réaliste avec une part de magie une sorte de « Disney touch » qui permet à l’imaginaire de se développer. Le jeu n’en reste pas moins sombre et cru mais juste. Bref dès le lancement du jeu, on plonge dans le cœur de l’action puisqu’on se retrouve au commande d’un magnifique et gros navire pirate en pleine bataille contre la compagnie royale. Cette intro sert de rapide tutoriel pour ce qui est de diriger le navire. Quoi que l’on fasse, on finit par être submergé par le nombre et couler. Après un écran noir, on peut rapidement configurer notre personnage via un menu à l’esthétique originale mais assez mal fichu puisqu’il n’est pas possible de voir le personnage en intégralité juste le reflet du visage dans l’eau. Si l’idée du reflet s’intègre parfaitement dans l’esprit du jeu ce qui donne un plus à l’immersion, c’est con de ne pas pouvoir le résultat dans sa globalité surtout pour la carrure…

La configuration faite, on est recueilli par deux autres survivants sur un radeau de fortune. Après une brève discussion, il est décidé que l’on est dorénavant capitaine du rafiot qui coule et de partir à l’aventure. Encore une fois on est dans le tutoriel donc on apprend à chasser le requin et les bases d’une mission. Ceci fait on gagne notre billet pour le grand large et surtout Saint Anne le repaire des pirates dans l’océan Indien entre les côtes Africaines, l’Inde et les îles du Sud. Le repaire est dirigé par Scurlock, le roi des pirates. ça tombe bien on veut devenir le plus grand des pirates. Il va donc falloir charbonner pour lui ! Au menu : couler des navires, piller des villes, transporter des marchandises, chercher des trésors le tout en retournant sa veste de temps en temps. La seule chose qui nous guide c’est la gloire et l’argent et pour un pirate la fin justifie les moyens !

Les multiples bêta de Skull and Bones proposaient un sacré contenu pour ce qui est de la trame principale. Je dois reconnaître que je m’attendais à mieux pour la version finale, ou en tout cas à plus de rebondissements ! Au final j’ai trouve le tout assez insipide tout comme les personnages qui manquent de relief dans leurs voix et comportements. La DA est bien choisie rien à dire si ce n’est que parfois on est dans le caricatural mais j’ai trouvé que les personnages manquaient de vie lorsqu’ils s’exprimaient. Ce manque de vie se ressent dans le doublage qui manquait de conviction pour ce qui est de la VF en tout cas (je n’ai pas fait en VO). C’est vraiment dommage car je pense qu’il y avait matière à faire des personnages forts. Il y a bien des moments qui relèvent mais ils sont rares. Je ne me suis pas remis du forgeron qui « sue du fer et chie de l’acier ».

Au final j’ai l’impression que la trame n’est qu’un énorme tutoriel ou un prétexte pour nous faire partir à l’aventure pour découvrir de nouvelles régions avec de nouveaux ports, marchands PNJ et missions annexes. C’est vrai que le but principal de Skull and Bones est d’explorer et de vivre la vie de pirate et en ça c’est très réussi ! J’étais à fond lorsque je naviguais et les phases de dialogues me faisaient au contraire sortir du jeu. Et puis lorsque l’on finit la trame principale, on accède au contenu end game qui est simplement énorme et qui augure d’un énorme potentiel avec de bon DLC qui ajouterait du contenu ! La timonerie que l’on peut faire en parallèle révèle toute son importance une fois la trame principale finie et il y a de quoi faire ! Le jeu en vaut la chandelle car les récompenses sont des améliorations uniques et aux qualités bien au dessus de celles que l’on peut avoir y compris à la fin de la trame principale !

Dur de devenir une légende !

Donc on oublie la trame principale du jeu car en fait elle ne sert à rien. Je vais la faire simple, vous pouvez atteindre le niveau max de la piraterie sans vous préoccuper de la trame principale ! Devenir une terreur des océans sans être limité par une chronologie établie c’est plutôt cool non ? Mais comme cela est-il possible ? C’est simple tout repose sur votre « jauge d’infamie » ! C’est ce qui nivelle les joueurs et ce à quoi ils ont accès. Pour gagner en infamie, il faut faire des missions certes mais il faut surtout se comporter comme un pirate ! ça passe par prendre la mer et explorer ! Chaque découverte donne des points d’infamie. Tant qu’à faire on coule des navires, on gagne ainsi du butin et surtout de l’infamie. Le jeu propose bien un système de déplacement rapide mais pour le coup il est vraiment inutile sauf dans le dernier tiers du jeu lorsqu’il faut parcourir des distances monstrueuses qui nous font traverser la carte. Il vaut mieux se balader et gagner plein de points d’infamie. En plus Skull and Bones propose un vrai open world sans limite donc ce serait con de s’en priver !

Oui un véritable open world ! Dès le début du jeu on peut aller ou on veut ! Certains endroits seront plus dangereux que d’autres ou plus difficile d’accès en raison de la faiblesse de notre bateau mais on peut le faire ! On n’est aucunement limité ! Le jeu encourage énormément l’exploration car en plus de gagner en infamie il faut avoir les ressources nécessaires pour crafter notre bateau et tous ses équipements. Chaque grade d’infamie nous donne accès à de nouveaux « plans ». Ce sont ces plans qui permettent de fabriquer les éléments du bateau et même le bateau lui même.

Les plans ne se débloquent pas tout seuls. Il faut au préalable les acquérir auprès des différents marchands que l’on rencontrera dans les ports et autres campements. N’ayez crainte pour savoir où est un plan, il suffit de consulter le codex qui nous dit où on peut le trouver. Par ailleurs pour les ressources nécessaires à la fabrication. Il suffit d’épingler le plan en mode tâche et le lieu des ressources et indiqué sur notre carte. Pour le coup le jeu nous tient bien par la main et c’est tant mieux mais j’ai trouvé l’ensemble un poil laborieux. J’ai trouvé le système un peu confus dans le classement des différents éléments à fabriquer. Entre les plans que l’on a pas et les ingrédients qui manquent difficile de s’y retrouver. Si chaque marchand ou artisan à sa fonction c’est quand même chiant de naviguer entre eux et le codex contient parfois moins d’éléments que la description du marchand. Encore une fois j’ai l’impression que le système est de favoriser l’exploration. J’ai passé pas mal de sessions de deux heures à naviguer à la recherche de plans ou de ressources ce qui pour le coup n’est pas dans mes habitudes de jeu. En tout cas j’étais surpris de ne pas voir le temps passer. Régulièrement j’étais en joie d’installer mon nouveau canon pour ensuite être déçu d’éteindre la console car cela faisait deux heures que je jouais…

Un gros contenu mais répétitif

On explore on explore mais pour faire quoi ? Des découvertes pardi ! Non plus sérieusement le contenu proposé par le jeu est assez gargantuesque. Il faut préciser qu’à la base, Skull and Bones devait être une vaste arène de PvP. On aurait donc passé notre temps à se flinguer les uns les autres. Les développeurs ont écouté les joueurs qui craignaient d’être découragés par certains joueurs trop forts. A ce sujet j’ai eu une fâcheuse expérience : je suis tombé sur deux joueurs qui empêchaient tout bateau d’accoster à Saint Anne. Le problème c’est qu’ils étaient au max de l’infamie et avaient des navires qui coulaient mon bateau en un coup… Impossible d’approcher ou de récupérer le butin. Je dis donc merci ux développeurs d’avoir pensé à changer leur fusil d’épaule pour éviter que ce genre de situation ne se répète que trop !

Du coup Skull and Bones est devenu, du moins pour la trame principale, un PvE. Le jeu propose des évènements communautaires, pour le moment 3 différents. Deux qui sont du PvE mais en coop et un qui est un véritable PvP au cours duquel il faut attaquer un joueur pour prendre son butin puis défendre le butin volé contre tous les autres joueurs. J’en reviens à la trame principale qui est donc du PvE avec la possibilité de jouer en coop. Petite mention, pour le moment les joueurs sont vraiment cools et régulièrement j’ai été rejoint par des inconnus venus prêter main forte pour un combat de boss ou une grosse attaque de port. L’appel fonctionne bien et trouve quasiment tout le temps une réponse et c’est vraiment agréable ! La coop change la dimension du jeu : les combats deviennent plus simple mais également plus épiques !

Tout au long de la trame principale, il nous sera proposé une foultitude de quêtes annexes, travaux à faire, trésors à trouver. Bon il y a à boire et à manger. Les quêtes consistent à faire très souvent la même chose : se déplacer à un endroit, récupérer un butin et le ramener au PNJ qui nous a confié la quête. C’est pas forcément original et c’est également répétitif. Ce qui est paradoxal, c’est d’avoir autant de liberté dans les déplacements en bateau et d’être autant dirigé dans les quêtes. Par exemple la recherche de trésor. Au début je trouve une carte avec une mention je me dis putain faut chercher en fait pas du tout ! Suffit de repérer l’île concernée et qui a un point pour accoster. Dès qu’on accoste le jeu nous prévient qu’il y a un trésor et il suffit de se balader à la recherche d’un point lumineux au sol qui indique le trésor… Pourquoi ne pas nous laisser chercher ? Je donne des éléments de réponse : peut être parce que les déplacements à pied sont ultra rigides, que l’on bute sur n’importe quel caillou et cerise sur le gâteau parce qu’il est impossible de nager ?!

C’est dommage et on sent que les développeurs n’ont pas eu le temps d’inclure tout ce qu’ils avaient envisagé. C’est bizarre de faire ce constat quand on sait que le développement a duré quasiment 8 ans… Les déplacements limités du personnage sont un indice tout comme le manque d’originalité dans les quêtes ou dans l’organisation des points de chute. Ils sont tous faits de la même manière : un marchand, une cache, un point d’eau et un officier de la compagnie… Le système de clans et d’armée royale n’est pas exploité. Au cours de notre progression on va découvrir que la carte est répartie en zone gouvernées par des clans ou l’armée royale d’un pays. Pour les armées on a la française, l’Hollandaise et l’anglaise. Pour les clans, on a le peuple de la mer, celui de Fara, l’Ungwana et au moment où j’écris ces lignes j’ai oublié le nom du quatrième… On peut attaquer celui que l’on veut quand on veut sans que cela influe sur notre progression à long terme. On a juste une jauge d’hostilité qui apparaît et qui a jusqu’à 4 niveaux. Passées deux minutes elle disparait et tout est oublié… Pourquoi ne pas avoir développé un système d’alliance ou un système basé sur l’aide que l’on apporte au clan et donc les services que l’on peut en obtenir comme cela se fait dans beaucoup de jeux du genre ?

Heureusement que le second souffle arrive en end game avec la Timonerie. On arrive en plein dans le PvP. On peut faire la timonerie dès que l’on atteint le niveau 5 mais personnellement tant que la trame principale n’est pas finie je vous déconseille ce mode. Le but va être de sécuriser des zones pour pouvoirs faire circuler les marchandises tout en sécurisant les routes commerciales. Bien évidemment tous les autres joueurs veulent nous piquer nos marchandises. Le jeu devient de la véritable gestion et il faut penser chaque action et bien se préparer avant de passer à l’action. Je n’ai pas eu l’occasion de le faire en coop mais il me semble que l’expérience serait bien meilleure avec des potes qui peuvent sécuriser des points clés car il faut admettre que l’on ne peut pas être partout à la fois. La progression dans ce mode permet d’avoir de la monnaie spéciale, la fameuse monnaie qui permet d’acquérir des plans ou des cosmétiques légendaires et donc de bien meilleure qualité que celui de la trame principale.

La piraterie façon arcade !

Bon la maniabilité ne va pas plaire à certains ! Le jeu est sorti depuis une semaine à l’heure ou j’écris ces lignes et vous avez pu voir les réactions de certains joueurs : la physique des bateaux c’est n’importe quoi, c’est trop arcade, il manque des choses. Bref le côté négatif pour ne pas changer ! Oui le jeu est arcade ! On dirige tout le bateau seul ! Une touche pour sortir les voiles une autre pour les retirer, la longue vue, les canons à bâbord, tribord devant, derrière, une arme centrale pour les gros bateaux, une touche pour déclencher une attaque d’équipage ou un abordage. Oui les bateaux répondent plutôt bien et de manière assez simple, ça permet à tout le monde de s’amuser rapidement. Il suffit de gérer le sens du vent et l’endurance de l’équipage en les nourrissant régulièrement de fruits et légumes (on ne badine pas avec l’équilibre alimentaire). L’exploration est simple et du coup reste un plaisir.

En combat, il faut connaître les forces et faiblesses de son navire, viser les points faibles de l’adversaire et surtout bien gérer ses mouvements. L’arsenal proposé par Skull and Bones est conséquent et il y a de multiples combinaisons possibles qui permettent de trouver notre style de jeu. Le canon long conviendra au sniper, le demi canon aux bourrins qui aiment éperonner par la suite. La bombarde est un indispensable dans les attaques de siège. On peut ajouter des buffs à nos armes comme de l’incendiaire, de l’inondation, du déchirement de voile. Les bateaux ont également des stat différentes classés en trois catégories : DPS, soutient ou tank. J’ai adoré le navire Bombardier bien que l’esthétique du brise coque soit plus classe. L’ensemble donne des combats nerveux et vraiment jouissifs : on a un sentiment de puissance lorsque l’on coule un gros navire assez plaisant ! Les puristes diront que ça manque de stratégie, ils nous emmerdent et n’ont qu’à repartir sur… j’en sais rien mais qu’ils me foutent la paix !

Bon tout n’est pas parfait. Si les combats sont épiques, ils peuvent parfois paraître répétitifs en raison de la simplicité dans le gameplay. A force de vouloir viser un public très large en simplifiant au maximum les mécaniques de jeu, Skull and Bones verse dans la monotonie. Je pense au pillage de certaines villes qui tirent en longueur par manque d’adversité à moins de s’attaquer à des proies qui sont deux ou trois niveaux au dessus de nous en début de partie… Je rejoins la critique sur les abordages automatiques. Lorsque l’on décide d’aborder un navire adverse, on a seulement droit à une mini cut scène (toujours la même). Je demande pas des combats dantesques au sabre et au mousquet mais une petite phase à pied aller même une QTE je prends ! Là encore est-ce par manque de temps de ne pas voir une telle mécanique ? Peut on espérer la voir apparaître dans un DLC ?

Une réalisation bien au dessus de ce que l’on peut penser !

Je vais taper mon petit coup de gueule envers certaines personnes des réseaux qui disposent de leur petite audience et qui se font un malin plaisir à cracher sur Skull and Bones sans même y avoir joué plus d’une heure. Il y a une mode à détruire les jeux d’Ubisoft parce qu’Ubisoft. Paradoxalement les jeux se vendent, c’est bien que le public ne s’y trompe pas. Pour le cas de Skull and Bones oui je suis fan mais je ne vais pas être aveugle sur les défauts que peut avoir le jeu. J’ai pu le relever pour les mécaniques de gameplay et je ne peux que critiquer certains aspects de la réalisation. D’abord, ne croyez pas ce que l’on vous dit sur les réseaux : Skull and Bones est très beau ! Je ne suis pas joueur de Sea of Thieves mais vraiment pas donc lorsque je lisais que c’était du même niveau graphique je ne disais rien. Puis j’ai vu des screens du jeu et sérieusement ! Faut vraiment être de parfaite mauvaise foi pour comparer les deux jeux et dire que c’est pareil ! De base comparer les deux jeux est con car ils n’ont pas du tout le même gameplay, le seul point en commun c’est le thème. A ce jeu on peut comparer un Elden Ring à un Diablo parce que c’est le même thème ?! J’ai fini pour mon coup de gueule !

Je trouve donc Skull and Bones très réussi graphiquement parlant. Les bateaux sont bien modélisés, l’effet de l’eau ne pas plus choqué que cela. Certains paysages avec les levers/couchers de soleil sont vraiment magnifiques et obligent à se faire une petite photo ! Certains endroits et notamment les capitales sont vraiment bien détaillés et on a l’impression d’avoir des endroits vivants. La bande sonore aide pas mal, excepté le doublage qui ne m’a pas convaincu, le reste est vraiment de qualité. Il ne se passe pas un moment sans que l’on n’ait pas un bruitage, un éclat de voix ou simplement un chant de marin (que j’ai adoré !). Tout n’est pas parfait loin de là ! Skull and Bones présentent pas mal de défauts de finition et de bugs…

Vous avez du voir passer la scène du doublage raté ou le script est resté au lieu de la voix. On va dire que c’est le pire. en plus de ne pas avoir un doublage convaincant, le jeu souffre d’un décalage labial assez prononcé sur certaines scènes. Les personnages sont bien modélisés mais j’ai retrouvé le syndrome des yeux vides comprendre une absence totale d’émotion sur les visages des personnages. Difficile de ne pas le relever lorsque l’on sort de l’excellent Like a Dragon Infinite Health. Pour ce qui est de la réalisation, j’ai pu voir des bateaux sortir de l’eau à la manière de Pirates des Caraïbes… ça fait bizarre la première fois, j’ai même cru à un bateau magique mais non c’est juste la façon de faire apparaître les bateaux sur l’eau… J’ai également eu droit à des freezes ou des écrans noirs qui m’ont obligé à relancer le jeu. Chiant surtout quand ça arrive en fin d’un gros combat que l’on est sur le point de gagner non sans mal et que l’on est obligé de se refaire depuis le début (je ne blague pas c’est véridique). J’ai bien senti que le lancement du jeu a été compliqué et aurait mérité d’être décale mais cela faisait beaucoup pour un seul jeu…

Si tu veux acheter le jeu (le Piwi ne prend aucune commission car non actionnaire chez Microsoft ni Sony ni Ubisoft !) ICI PS5 ou ICI XBOX SERIES X / XBOX ONE.

Le test a été réalisé avec une version presse digitale Xbox offerte par Ubisoft.